Vivant
- Santé, Médecine et Sciences du Vivant
- Biologie & Biochimie
Une mouche au secours des alcooliques
- Tweeter
-
-
0 avis :
Des chercheurs de l'université de Californie à San Francisco ont identifié chez la Drosophile un gène baptisé« un petit coup pas cher » (cheapdate), qui permettrait d'expliquer pourquoi certains individus semble moins sensibles que d'autres aux effets de l' alcool. Bien que cette information ne puisse pas être extrapolée à l' homme et que le phénomène de l'alcoolisme ne soit pas associé à un unique gène, cette découverte identifie l'un des marqueurs biologiques de ce fléau, qui touche 18 millions d'individus aux États-Unis, et renforce l' hypothèse génétique de cette dépendance. En effet, si ce gène ne provoque pas directement la tentation de boire, il pourrait favoriser l'alcoolisme. Les scientifiques espèrent proposer un test génétique pour dépister une prédisposition à cette pathologie.
(San José Mercury News).
Noter cet article :
Vous serez certainement intéressé par ces articles :

Une voie pour vaincre l’antibiorésistance
La résistance de certaines bactéries pathogènes aux antibiotiques est devenue un défi majeur de santé publique, responsable d’au moins 700 000 décès par an dans le monde. La mise au point de ...

La détection photoacoustique pourrait remplacer les tests de glucose à base d'aiguille
Pour mesurer le taux de glycémie, on utilise généralement des outils invasifs, impliquant des petites aiguilles piquant dans la peau. Mais les personnes souffrant de diabète doivent tester leurs ...

Cancer : une nouvelle piste pour lutter contre la formation des métastases
Beaucoup de cancers deviennent difficile à soigner à cause de l’apparition de métastases, des tumeurs dites « secondaires » qui se développent à distance de la tumeur primaire. Des cellules ...
Recommander cet article :
- Nombre de consultations : 95
- Publié dans : Biologie & Biochimie
- Partager :