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Cancer du pancréas : une nouvelle avancée
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Malgré des progrès indéniables dans la précocité de son diagnostic, le pronostic du cancer du pancréas (KP) reste l’un des plus sombres en cancérologie. Le taux de survie à 5 ans est en effet estimé actuellement à 6 % toutes formes confondues. Pour les tumeurs non opérables, qui sont particulièrement fréquentes, les progrès thérapeutiques ont été limités ces dernières années à la gemcitabine. Cet antinéoplasique est devenu la chimiothérapie de référence avec dans une étude pivot une survie médiane en monothérapie de 5,6 mois contre 4,4 avec le flurouracil (p=0,002).
Ces résultats, en fait médiocres, ont conduit tout naturellement à essayer de nouveaux protocoles, soit en associant divers agents à la gemcitabine soit en testant de nouvelles poly-chimiothérapies. C’est cette seconde option que vient d’explorer avec un certain succès un groupe multicentrique français.
Thierry Conroy et coll. ont testé un nouveau protocole thérapeutique dans le cadre d’un essai de phase 2-3 chez 342 patients souffrant d’un adénocarcinome pancréatique métastasé. Pour être admis dans cet essai, les malades devaient n’avoir jamais été traités par chimio ou radiothérapie et avoir un état général conservé (statut 0 ou 1 selon le score de l’Eastern Cooperative Oncology Group). De plus, le taux de bilirubine devait être inférieur à 1,5 fois la normale ce qui excluait un grand nombre de cancers de la tête du pancréas.
Ces patients recrutés dans 48 centres français ont été randomisés en ouvert entre :
- un traitement « classique » par gemcitabine (10 injections d’1 gramme/m2/semaine avec une semaine d’arrêt après la 7ème injection) ;
- et le protocole FOLFIRINOX qui comporte toutes les deux semaines une association séquentielle d’oxaliplatine (85 mg/m2), de leucovorine (400 mg/ m2), d’irinotecan (180 mg/ m2) et de fluorouracil (400 mg/m2 en bolus suivi par une injection de 2 400 mg/m2 sur 46 heures).
Six mois de traitement étaient prévus chez les répondeurs. Le critère de jugement principal choisi était le plus dur puisqu’il s’agissait de la survie globale. Les résultats montrent que le FOLFIRINOX constitue un progrès important dans la prise en charge du KP :
- la survie médiane est passée de 6,8 mois dans le groupe contrôle à 11,1 mois (p<0,001) ;
- les taux de survie à 6, 12 et 18 mois étaient de 75,9 %, 48,4 % et 18,6 % dans le groupe FOLFIRINOX, contre respectivement 57,6 %, 20,6 % et 6 % dans le groupe gemcitabine ;
- la médiane de survie sans progression était de 6,4 mois dans le groupe FOLFIRINOX contre 3,3 mois dans le groupe gemcitabine (p<0,001) ;
- le taux de réponses objectives s’est accru de 9,4 % dans le groupe contrôle à 31,6 % dans le groupe FOLFIRINOX (p<0,001).
Ainsi, les durées de survie et de survie sans récidive ont été presque doublées sous ce protocole. Ce pronostic moins défavorable a été observé dans tous les sous groupes analysés et s’est accompagné d’une détérioration moins rapide de la qualité de vie.
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monnet
31/10/2023I sincerely hope that more people would take advantage of the excellent and important forum that you share. quordle
Kathleen Dunham
13/05/2025C'est vraiment regrettable que la FDA et les grandes sociétés pharmaceutiques interdisent de nombreux remèdes naturels contre le CANCER juste pour gagner de l'argent.
Je suis quelqu'un de très réservé, surtout quand il s'agit de ma santé ! J'ai décidé de partager mon histoire pour donner espoir et inspiration.
Il y a deux ans, ma fille, aujourd'hui âgée de 21 ans, a reçu un diagnostic de cancer de stade 4 avec métastases osseuses. Elle a suivi une chimiothérapie orale, qui a entraîné une toxicité. Son cœur et ses reins ont été gravement endommagés. Elle ne pouvait ni marcher ni parler sans tousser et a été hospitalisée à plusieurs reprises pour une tension artérielle dangereusement basse. J'ai abandonné les médecins ; j'ai décidé d'arrêter tout traitement médical et de chercher des alternatives. J'ai fini par me renseigner sur les plantes naturelles, ce qui m'a amenée à contacter un herboriste, le Dr Water. Il m'a proposé des produits à base de plantes, que j'ai donnés à ma fille, et sa santé s'est rapidement améliorée. Quelques jours après la fin du traitement, nous avons fait un scanner, qui a confirmé qu'elle n'avait plus de cancer et que ses os étaient en voie de guérison. J'étais folle de joie ; c'était comme un miracle. Cela fait plus d'un an maintenant, et elle est en parfaite santé. Pas d'antibiotiques, pas de probiotiques ; elle prend seulement quelques compléments naturels que le Dr Water nous a recommandés.
Les plantes naturelles peuvent être une alternative parfaite à de nombreux problèmes de santé, mais nous semblons les négliger. N'hésitez pas à partager mon histoire. Voici les coordonnées du Dr Water : +2349050205019 et DRWATERHIVCURECENTRE@GMAIL.COM.
Un grand merci aux Drs Hamza Shazam et Terry Marcelino pour leurs conseils tout au long de mon parcours !
Merci à Jimmy Philip Sacchetti de m'avoir contactée !
Merci à ma famille et à mes amis pour leur amour et leur soutien, et un grand merci au Dr Water, qui a sauvé la vie de ma fille ! Je vous aime tous.
rosie101
13/06/2024Bien que ce gain soit statistiquement significatif (p=0,002), il reste très modeste, soulignant l'urgence de développer de nouvelles approches plus efficaces pour ce cancer extrêmement agressif. connections game