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Une étude confirme le lien puissant entre stress et infarctus
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Les Mayo Clinic Proceedings publient une importante étude menée par le Mid-America Heart Institute du St. Luke's Hospital et de l'Université de Missouri à Kansas City sur l'impact du comportement qualifié de "Type A" (agressivité, nervosité, anxiété, impatience exacerbées) sur l'évolution des affections cardiovasculaires et l'incidence d'attaques cardiaques. Les personnes présentant ces traits de caractères activent beaucoup trop, souvent dans des circonstances banales, le système nerveux sympathique responsable des réactions rapides et bénéfiques lors d'événements stressants ou dangereux. Les cardiologues estiment que 40% des crises cardiaques résultent directement du stress. D'autres facteurs viennent s'ajouter à cette constellation qui stimule trop le système sympathique : dépression, diabète, obésité, hypertension, apnée et utilisation de certains médicaments contre l'hypertension. En revanche, la prescription de bêtabloquants semble constituée un traitement parfait pour ces personnes, tout comme l'exercice physique régulier et modéré semble constituer le meilleur régulateur de l'activité sympathique.
NYT 21/05/02 : http://www.nytimes.com/2002/05/21/health/anatomy/21BROD.html
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- Publié dans : Médecine
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