Vivant
- Santé, Médecine et Sciences du Vivant
- Biologie & Biochimie
Vers un simple test sanguin pour prédire le risque de cancer du sein
- Tweeter
-
-
0 avis :
On sait qu'une femme sur huit sera concernée par le cancer du sein au cours de sa vie. En cause, plusieurs facteurs tels l’alimentation, la sédentarité, et le vieillissement de la population.
Afin d’améliorer le dépistage de ce cancer très fréquent, Martin Widschwendter et ses collaborateurs de l'University College de Londres ont travaillé sur le gène BRCA1, connu pour être responsable de 10 % des cancers du sein. En étudiant des échantillons sanguins de femmes ayant ce gène, ainsi que ceux de femmes ne le possédant pas, les chercheurs ont découvert une signature ADN qui permettrait dans tous les cas de déceler les patientes susceptibles d’être touchées par un cancer du sein, même en l’absence de prédisposition génétique liée à BRCA1.
Selon ces chercheurs, un simple test sanguin permettrait de reconnaître ou non la présence de cette signature ADN et ainsi de prédire les risques de cancer du sein, 10 ans avant sa survenue. Avec un tel test, il devient donc envisageable de mettre en œuvre une prévention active du cancer du sein en agissant sur le mode de vie.
Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
Noter cet article :
Vous serez certainement intéressé par ces articles :
Le vaccin combiné Moderna contre le COVID et la grippe est plus efficace que les vaccins séparés
Moderna a annoncé que son vaccin combiné contre le COVID-19 et la grippe a généré une réponse immunitaire plus forte chez les adultes âgés de 50 ans et plus que les vaccins séparés contre les virus ...
Détecter le cancer plus rapidement grâce à l'IA
Le centre de régulation génomique de Barcelone a développé un outil nommé AINU, doté d’une intelligence artificielle capable de différencier les cellules “tumorales” des cellules “normales” avec une ...
Les œstrogènes favoriseraient la consommation excessive d'alcool chez les femmes
Selon une étude de l'Ecole de Médecine Weil Cornell, dirigée par le Docteur Kristen Pleil, la consommation excessive d’alcool chez les femmes pourrait être liée aux œstrogènes, une hormone féminine ...
Recommander cet article :
- Nombre de consultations : 117
- Publié dans : Biologie & Biochimie
- Partager :