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Une protéine commune à l'origine des maladies d'Alzheimer et de Parkinson ?

À partir de l'analyse des tissus cérébraux de souris et de personnes décédées, des chercheurs de l’université américaine de Stanford, dirigés par Alexander Stephan, ont découvert qu’un excès de concentration de la protéine C1q au niveau des synapses entraînait la destruction des cellules immunitaires du cerveau, accélérant ainsi son vieillissement.

Cette découverte pourrait modifier l'approche scientifique des maladies neurodégénératives et des voies thérapeutiques qui y sont associées.

Selon ces chercheurs, le développement de molécules ciblant et bloquant la protéine C1q pourrait permettre des avancées thérapeutiques majeures dans de nombreuses maladies neurodégénératives, telles que la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson ou encore la maladie d'Alzheimer.

Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash

The Journal of Neuroscience

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