Vivant
- Santé, Médecine et Sciences du Vivant
- Biologie & Biochimie
Une protéine commune à l'origine des maladies d'Alzheimer et de Parkinson ?
- Tweeter
-
-
1 avis :
À partir de l'analyse des tissus cérébraux de souris et de personnes décédées, des chercheurs de l’université américaine de Stanford, dirigés par Alexander Stephan, ont découvert qu’un excès de concentration de la protéine C1q au niveau des synapses entraînait la destruction des cellules immunitaires du cerveau, accélérant ainsi son vieillissement.
Cette découverte pourrait modifier l'approche scientifique des maladies neurodégénératives et des voies thérapeutiques qui y sont associées.
Selon ces chercheurs, le développement de molécules ciblant et bloquant la protéine C1q pourrait permettre des avancées thérapeutiques majeures dans de nombreuses maladies neurodégénératives, telles que la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson ou encore la maladie d'Alzheimer.
Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
Noter cet article :
Vous serez certainement intéressé par ces articles :
Un candidat-vaccin contre l'hépatite C
Des chercheurs de l’Institut de virologie de l’Université de Lübeck (Allemagne) ont franchi une nouvelle étape vers un vaccin contre l'hépatite C : leur candidat vaccin a été testé avec succès sur ...
La pollution de l'air augmente les risques de maladie de Parkinson
La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative qui évolue lentement et se caractérise notamment par la perte progressive de neurones dans le cerveau. Elle touche majoritairement les ...
Un vaccin thérapeutique contre la maladie d’Alzheimer bientôt testé sur l'homme
Des chercheurs de l’Université du Nouveau-Mexique ont présenté des résultats très encourageants chez des souris et des primates d’un nouveau candidat-vaccin contre la maladie d'Alzheimer, qui ...
Recommander cet article :
- Nombre de consultations : 184
- Publié dans : Biologie & Biochimie
- Partager :