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L'énergie des mers : futur champ de bataille

Siemens, le géant industriel allemand a annoncé le 4 novembre dernier avoir porté à 45 % sa participation dans la société "Marine Current Turbines (MCT)" basée à Bristol, au Royaume-Uni et spécialisée dans les générateurs d'énergie marémotrice.

"Avec cette opération, Siemens renforce ses activités dans la production d'énergie marine. Nous allons développer activement la phase de commercialisation des engins novateurs de Marine Current", a déclaré Michael Axmann, directeur financier de la Division Solaire et Hydro du secteur Énergie chez Siemens.

L'énergie des océans connaît un fort taux de croissance au niveau mondial, tirée par les engagements de réduction de CO2. Jusqu'en 2020, les experts prévoient une croissance à deux chiffres sur ce marché. De nouvelles estimations du potentiel mondial de production d'électricité utilisant des centrales marémotrices avancent le chiffre de 800 térawattheures (TWh) par an. A titre de comparaison, cela équivaudrait entre 3 % et 4 % de la consommation mondiale d'électricité.

MCT prévoit de présenter dans les prochains mois à des investisseurs 2 projets comprenant 8 mégawatts (MW) et 10 MW, respectivement le projet Kyle Rhea en Ecosse et celui d'Anglesey Skerries au Pays de Galles. Par ailleurs, MCT a prévu d'installer un système marémotrice dans les infrastructures "FORCE" basées dans La baie de Fundy au Canada et a reçu un bail du Domaine Royal (Crown Estate) pour déployer 100 MW au large de Brough Ness, sur la pointe la plus méridionale des Iles Orkney en Ecosse.

MCT a déjà mis en place avec succès son premier démonstrateur d'envergure, le SeaGen, en Irlande du Nord à Strangford Lough. Depuis Novembre 2008, les deux turbines axiales du SeaGen, d'une capacité combinée de 1,2 MW, ont été reliées au réseau alimentant l'équivalent d'environ 1.500 foyers. A ce jour, le SeaGen aurait injecté sur le réseau plus de 2.7 GWh d'électricité !

Les hydroliennes génèrent de l'électricité en utilisant le courant des marées. La turbine 'SeaGen' est fixée sur une structure et est entraînée par le flux des marées avec un avantage clé : la puissance générée est prévisible dans le cycle des marées. Cette technologie est similaire à celle d'une éolienne comprenant des pales actionnées non pas par l'énergie éolienne, mais par le courant des marées. L'eau a une densité énergétique de plus de 800 fois à celle du vent. Les turbines jumelles tournent avec un angle de 180 degrés afin de capter d'une façon optimale le courant des marées (direction + vitesse).

De son côté, le groupe Alstom - concurrent direct de Siemens - se prépare également à faire un plongeon dans l'énergie marémotrice l'année prochaine. Le groupe français est en train de construire un démonstrateur d'un mégawatt de puissance, utilisant une technologie sous licence du canadien Clean Current Power Systems. Lors d'une conférence à Bali le mois dernier, Philippe Gilson, directeur d'Alstom énergie des océans, a affirmé que son groupe prévoyait d'installer en 2012 sa turbine entièrement submersible de 20 mètres de haut dans la baie de Fundy (Nouvelle-Écosse).

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  • JACKY MAISONNEUVE

    7/12/2015

    Jacky Maisonneuve
    Route des jeunes 5 D¨
    C.P. 1326 - 1211 Genève 26
    Tél. 00.41.22.300.17.90 –
    Portable 00.41.79.200.52

    Lundi 07 décembre 2015

    Fabrication d’hydrocarbure de synthèse à base d’eau salée.

    Nous vous proposons de cvisiter le site (Swiss H2o Nacl Energy) :

    - :
    Nous avons déposé un BREVET pour la fabrication d’hydrocarbure de synthèse à base d’eau salée.

    En tant qu’investisseurs nous sommes entrés dans un petit groupe de recherches qui faisait des expérimentations (en secret). Par la suite nous avons repris ce laboratoire et avons continué seuls ces expérimentations. Nous disposons de tous les documents et les rapports de 50 années d’expérimentations sur ce procédé

    Nous avons décidé maintenant d’apporter tous les dossiers de ces travaux de recherches à un « organisme » capable de finaliser ces expérimentations et capable ensuite de maitriser cette révolution scientifique, même si elle semble imaginable !

    Dans la région de Rouen en France, un « aéropage » d’une vingtaine de personnalités, scientifiques, politiques et les dirigeants de plusieurs compagnies pétrolières de l’époque ont assistés « ébahis » à la transformation de 6000 litres d’eau salée en essence de synthèse. Tous les participants ont pu inspecter les installations et ont prélevé des échantillons de cette essence à base d’eau de mer qui sortait de chacune des 4 installations de transformation.

    (Un livre « LES SECRETS DU PETROLE » a été publié en 1963 par Pierre FONTAINE. Il cite largement en pages 17 à 22, cette expérimentation exceptionnelle ainsi que les participants présents ce jour-là). Des rapports à ce sujet figurent probablement dans vos archives. (il est vrai qu’à cette époque, ARAMCO avait fait des contrats mirobolants avec les pays Arabes et les méthodes de substitution au pétrole avaient bien peu d’intérêts. (voir articles de presse de 1934 à disposition dans le site).

    - Au début des années 1990, nous avons repris 100 % de la société SODIA SA, qui exploitait le laboratoire de recherches aux environs de Genève. Nous avons liquidé cette société en prenant en charge tous les passifs. Nous avons ainsi obtenu la libre disposition du brevet (en fin de validité) déposé par Albert Saheur et surtout tous les documents et les rapports concernant les expérimentations faites depuis le début de cette aventure.

    - Nous avons créé alors un nouveau laboratoire plus petit dans les locaux de notre immeuble route des jeunes à Genève et avons financé nous-mêmes la continuité des recherches avec deux chercheurs Suisses, Roland Marmoud et George Chiasso, qui avaient longtemps collaborés avec Albert Saheur. (chacun s’accordait pour garder secrète ces recherches, de peur de se faire « voler » le procédé et les formules).

    - Aujourd’hui, en 2015, tous les acteurs de ce long « parcours de recherches son mort. (de vieillesse). Bien qu’ayant réalisé de beaux exploits, ils n’ont pas pu réaliser leur rêve de reproduire couramment et en permanence cette essence de synthèse.

    - Puisque nous sommes les derniers « porteurs » de ce projet, il nous a semblé qu’il était plus judicieux, « d’apporter » tous ces documents que nous avons collectionnés, à un groupe capable de continuer ces expérimentations, avec une formule de partenariat. Si une compagnie Française se montre intéressée à cette idée, nous donnerions lui bien sûr notre préférence,

    - Bien que n’étant pas nous-mêmes des scientifiques, nous avons participé à des centaines d’expérimentations et d’innombrables briefings avec nos chercheurs à ce sujet. Aussi, nous avons l’intime conviction que cette « mutation » est réalisable et que cette mise en application apporterait une véritable révolution scientifique

    Aussi, si notre dossier vous parait intéressant, nous sommes disposés à vous rencontrer pour connaitre vos propositions.
    Nous restons à votre disposition, si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet. Dans cette attente, je vous présente mes respectueuses salutations.

    Jacky Maisonneuve

    Le Procédé en bref :
    Dans notre procédé, un colloïdal bien spécifique est mélangé à l’eau de mer. Ce mélange traverse un appareil à charges magnétiques et lumineuses bien spécifiques. C’est au passage dans cette installation magnétique que doit se faire cette transformation de l’eau de mer en hydrocarbure de synthèse.

    L’énergie nécessaire à cette « transformation » est relativement faible, elle est comparable à celle d’un alternateur de voiture de tourisme. Le coût de l’énergie nécessaire à cette transformation est donc ridicule comparé à l’énergie produite. Nous « supposons » une « mutation à faible énergie » du NACL en carbone. . . Evidemment, tous les scientifiques « éclatent de rire » à ce «commentaire » ! ! ! Nous avons de notre côté une « supposition d’explication » à cette transmutation. (voir Dossier No 8a du site : « Secrets de fabrication »)

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