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De l'eau de mer transformée en carburant de synthèse !

Des chercheurs du Laboratoire de la marine américaine (NRL) ont développé un procédé permettant d'extraire du dioxyde de carbone (CO2) et de l'hydrogène à partir de l'eau de mer puis d'utiliser ces deux gaz pour produire du carburant liquide.

Pour parvenir à ce résultat, les scientifiques ont utilisé un module électrolytique d'échange de cation (E-CEM), capable à la fois de dissoudre et de lier le CO2 de l'eau de mer avec une efficacité de 92 %. A l'aide d'un catalyseur métallique, les gaz sont ensuite transformés en hydrocarbure liquide à travers un réacteur dédié. "C'est la première fois qu'une technologie capable d'extraire simultanément du CO2 et de l'hydrogène de l'eau de mer démontre son efficacité" souligne le Docteur Heather Willauer, chimiste au NRL.

La concentration de CO2 dans l'océan (100 milligrammes par litre) est d'environ 140 fois plus importante que celle de l'air. Une petite proportion (2 à 3 %) du CO2 de l'eau de mer se retrouve sous forme gazeuse en acide carbonique, de carbonate (1 %), et de bicarbonate (96 à 97 %).

Pour parvenir à convertir le CO2 et l'hydrogène de l'eau de mer en carburant, les scientifiques ont commencé par réaliser un catalyseur à base de fer qui a permis non seulement d'atteindre des niveaux de conversion de CO2 allant jusqu'à 60 %, mais aussi de réduire la production de méthane en faveur d'une chaîne d'hydrocarbures insaturés (oléfines) plus longue.

Dans une seconde phase, ces oléfines ont été converties en composés moléculaires plus élevés en utilisant une polymérisation contrôlée. Le liquide résultant contient des molécules d'hydrocarbure qui peuvent se substituer au kérosène classique.

Le coût de ce kérosène de synthèse utilisable dans les moteurs de navires ou d'avions serait de l'ordre de 4 euros le gallon, soit un peu moins d'un euro le litre et ce carburant pourrait devenir compétitif d'ici 5 à 10 ans, en fonction de l'évolution du cours du pétrole…

Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash

NRL

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  • JACKY MAISONNEUVE

    19/10/2015

    Jacky Maisonneuve
    Route des jeunes 5 D¨
    C.P. 1326 - 1211 Genève 26
    Tél. 00.41.22.300.17.90 –
    Portable 00.41.79.200.52.14

    lundi 19 octobre 2015

    Fabrication d’hydrocarbure de synthèse à base d’eau salée.
    (bien qu’il y ait des similitudes, ce procédé n’a rien à voir avec le procédé « Fischer Tropsch »).

    Mesdames, Messieurs

    Nous vous faisons parvenir le lien pour visiter notre site
    ( Swiss H2o Nacl Energy )
    :
    Nous avons en effet déposé un BREVET pour la fabrication d’hydrocarbure de synthèse à base d’eau salée. (pourtant considéré comme utopique)

    En 1985, en tant qu’investisseurs nous sommes entrés dans un petit groupe de recherches et d’expérimentation (pratiquement en secret). Par la suite nous avons repris ce laboratoire et avons continué seuls ces expérimentations. Nous disposons de tous les documents et rapports de 50 années d’expérimentations sur ce procédé

    Nous avons décidé d’apporter maintenant tous les dossiers de ces travaux de recherches à un « organisme » capable de finaliser ces expérimentations et capable ensuite de maitriser cette révolution scientifique, qui semblent imaginable !

    En effet, en 1934, dans la région de Rouen en France, un « aéropage » d’une vingtaine de personnalités, scientifiques, politiques et les dirigeants de plusieurs compagnies pétrolières de l’époque ont assistés « ébahis » à la transformation de 6000 litres d’eau salée en essence de synthèse. Tous les participants ont pu inspecter les installations et ont prélevé des échantillons de cette essence à base d’eau de mer qui sortait de chacune des 4 installations de transformation.¨

    (Un livre « LES SECRETS DU PETROLE » a été publié en 1963 par Pierre FONTAINE. Il cite largement en pages 17 à 22, cette expérimentation exceptionnelle ainsi que les participants présents ce jour-là). Des rapports à ce sujet figurent probablement dans vos archives. (il est vrai qu’à cette époque, ARAMCO avait fait des contrats mirobolants avec les pays Arabes et les méthodes de substitution au pétrole avaient bien peu d’intérêts. (voir articles de presse de 1934 à disposition dans le site)¨¨

    - Au début des années 1990, nous avons repris 100 % de la société SODIA SA, qui exploitait le laboratoire de recherches aux environs de Genève. Nous avons liquidé cette société en prenant en charge tous les passifs. Nous avons ainsi obtenu la libre disposition du brevet (en fin de validité) déposé par Albert Saheur et surtout tous les documents et les rapports concernant les expérimentations faites depuis le début de cette aventure.

    - Nous avons créé alors un nouveau laboratoire plus petit dans les locaux de notre immeuble route des jeunes à Genève et avons financé nous-mêmes la continuité des recherches avec deux chercheurs Suisses, Roland Marmoud et George Chiasso, qui avaient longtemps collaborés avec Albert Saheur. (chacun s’accordait pour garder secrète ces recherches, de peur de se faire « voler » le procédé et les formules).

    - Aujourd’hui, en 2015, tous les acteurs de ce long « parcours de recherches son mort. (de vieillesse). Bien qu’ayant réalisé de beaux exploits, ils n’ont pas pu réaliser leur rêve de reproduire couramment cette essence de synthèse.

    - Puisque nous sommes les derniers « porteurs » de ce projet, il nous a semblé qu’il était plus judicieux, « d’apporter » tous ces documents que nous avons collectionnés, à un groupe capable de continuer ces expérimentations, avec une formule de partenariat. Si une compagnie se montre intéressée à cette idée, nous donnerions lui bien sûr notre préférence,

    - Bien que n’étant pas nous-mêmes des scientifiques, nous avons participé à des centaines d’expérimentations et d’innombrables briefings à ce sujet avec nos chercheurs. Aussi, nous avons l’intime conviction que cette « mutation » est réalisable et que cette mise en application apporterait une véritable révolution scientifique

    Aussi, si notre dossier vous parait intéressant, nous sommes disposés à vous rencontrer en priorité pour connaitre vos propositions.
    Nous restons à votre disposition, si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet. Dans cette attente, je vous présente mes respectueuses salutations.

    Jacky Maisonneuve

    Le Procédé en bref :
    Dans notre procédé, un colloïdal bien spécifique est mélangé à l’eau de mer. Ce mélange traverse un appareil à charges magnétiques et lumineuses bien spécifiques. C’est au passage dans cette installation magnétique que doit se faire cette transformation de l’eau de mer en hydrocarbure de synthèse.

    L’énergie nécessaire à cette « transformation » est relativement faible, elle est comparable à celle d’un alternateur de voiture de tourisme. Le coût de l’énergie nécessaire à cette transformation est donc ridicule comparé à l’énergie produite. Nous « supposons » une « mutation à faible énergie » du NACL en carbone. . . Evidemment, tous les scientifiques « éclatent de rire » à ce «commentaire » ! ! ! Nous avons de notre côté une supposition d’explication à cette transmutation. (voir Dossier No 8a du site : « Secrets de fabrication »)

    PS :: Vous trouverez également en annexe, pour simplification de lecture, tous les textes de ce site « TRANSFORMATION d’EAU de MER en HYDROCARBURE de SYNTHESE »

    SWISS PHYTOTHERAPY SPM SA - 51 rue du Maupas 1005 Lausanne Création de Centre de Santé par les plantes
    Jacky.maisonneuve@swiss-phytotherapy.com - www.swiss-phytotherapy.com
    Jacky.maisonneuve@cures-messegue.ch - www.cures-messegue.chwww.sw: iss-phytotherapy.com

  • JACKY MAISONNEUVE

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    JACKY MAISONNEUVE
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    Portable 00.41.79.200.52.14

    lundi 19 octobre 2015

    Fabrication d’hydrocarbure de synthèse à base d’eau salée.
    (bien qu’il y ait des similitudes, ce procédé n’a rien à voir avec le procédé « Fischer Tropsch »).

    Mesdames, Messieurs

    Nous vous faisons parvenir le lien pour visiter notre site
    ( Swiss H2o Nacl Energy )
    :
    Nous avons en effet déposé un BREVET pour la fabrication d’hydrocarbure de synthèse à base d’eau salée. (pourtant considéré comme utopique)

    En 1985, en tant qu’investisseurs nous sommes entrés dans un petit groupe de recherches et d’expérimentation (pratiquement en secret). Par la suite nous avons repris ce laboratoire et avons continué seuls ces expérimentations. Nous disposons de tous les documents et rapports de 50 années d’expérimentations sur ce procédé

    Nous avons décidé d’apporter maintenant tous les dossiers de ces travaux de recherches à un « organisme » capable de finaliser ces expérimentations et capable ensuite de maitriser cette révolution scientifique, qui semblent imaginable !

    En effet, en 1934, dans la région de Rouen en France, un « aéropage » d’une vingtaine de personnalités, scientifiques, politiques et les dirigeants de plusieurs compagnies pétrolières de l’époque ont assistés « ébahis » à la transformation de 6000 litres d’eau salée en essence de synthèse. Tous les participants ont pu inspecter les installations et ont prélevé des échantillons de cette essence à base d’eau de mer qui sortait de chacune des 4 installations de transformation.¨

    (Un livre « LES SECRETS DU PETROLE » a été publié en 1963 par Pierre FONTAINE. Il cite largement en pages 17 à 22, cette expérimentation exceptionnelle ainsi que les participants présents ce jour-là). Des rapports à ce sujet figurent probablement dans vos archives. (il est vrai qu’à cette époque, ARAMCO avait fait des contrats mirobolants avec les pays Arabes et les méthodes de substitution au pétrole avaient bien peu d’intérêts. (voir articles de presse de 1934 à disposition dans le site)¨¨

    - Au début des années 1990, nous avons repris 100 % de la société SODIA SA, qui exploitait le laboratoire de recherches aux environs de Genève. Nous avons liquidé cette société en prenant en charge tous les passifs. Nous avons ainsi obtenu la libre disposition du brevet (en fin de validité) déposé par Albert Saheur et surtout tous les documents et les rapports concernant les expérimentations faites depuis le début de cette aventure.

    - Nous avons créé alors un nouveau laboratoire plus petit dans les locaux de notre immeuble route des jeunes à Genève et avons financé nous-mêmes la continuité des recherches avec deux chercheurs Suisses, Roland Marmoud et George Chiasso, qui avaient longtemps collaborés avec Albert Saheur. (chacun s’accordait pour garder secrète ces recherches, de peur de se faire « voler » le procédé et les formules).

    - Aujourd’hui, en 2015, tous les acteurs de ce long « parcours de recherches son mort. (de vieillesse). Bien qu’ayant réalisé de beaux exploits, ils n’ont pas pu réaliser leur rêve de reproduire couramment cette essence de synthèse.

    - Puisque nous sommes les derniers « porteurs » de ce projet, il nous a semblé qu’il était plus judicieux, « d’apporter » tous ces documents que nous avons collectionnés, à un groupe capable de continuer ces expérimentations, avec une formule de partenariat. Si une compagnie se montre intéressée à cette idée, nous donnerions lui bien sûr notre préférence,

    - Bien que n’étant pas nous-mêmes des scientifiques, nous avons participé à des centaines d’expérimentations et d’innombrables briefings à ce sujet avec nos chercheurs. Aussi, nous avons l’intime conviction que cette « mutation » est réalisable et que cette mise en application apporterait une véritable révolution scientifique

    Aussi, si notre dossier vous parait intéressant, nous sommes disposés à vous rencontrer en priorité pour connaitre vos propositions.
    Nous restons à votre disposition, si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet. Dans cette attente, je vous présente mes respectueuses salutations.

    Jacky Maisonneuve

    Le Procédé en bref :
    Dans notre procédé, un colloïdal bien spécifique est mélangé à l’eau de mer. Ce mélange traverse un appareil à charges magnétiques et lumineuses bien spécifiques. C’est au passage dans cette installation magnétique que doit se faire cette transformation de l’eau de mer en hydrocarbure de synthèse.

    L’énergie nécessaire à cette « transformation » est relativement faible, elle est comparable à celle d’un alternateur de voiture de tourisme. Le coût de l’énergie nécessaire à cette transformation est donc ridicule comparé à l’énergie produite. Nous « supposons » une « mutation à faible énergie » du NACL en carbone. . . Evidemment, tous les scientifiques « éclatent de rire » à ce «commentaire » ! ! ! Nous avons de notre côté une supposition d’explication à cette transmutation. (voir Dossier No 8a du site : « Secrets de fabrication »)

    PS :: Vous trouverez également en annexe, pour simplification de lecture, tous les textes de ce site « TRANSFORMATION d’EAU de MER en HYDROCARBURE de SYNTHESE »

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