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Les algues comme source d'énergie durable

La biomasse à base d'algues a le potentiel de fournir de l'énergie durable et de contribuer fortement à la réduction des émissions de CO2. A travers le nouveau projet européen "EnAlgae", 19 partenaires unissent leurs compétences pour favoriser le développement de la production de biomasse à base d'algues dans le nord-ouest de l'Europe. Le projet "EnAlgae" est une initiative stratégique du programme de coopération transnationale "Europe du Nord-Ouest Interreg IVB", financé en partie par le Fonds européen de développement régional. Ce projet sera financé à hauteur de 14 millions d'euros pour une durée de quatre ans. La gestion de projet sera tenue par l'Université de Swansea au Pays de Galles. Les partenaires allemands pour ce projet seront l'Agence des matières premières renouvelables (FNR), l'Institut de technologie de Karlsruhe (KIT) et l'Etablissement d'enseignement supérieur technique et scientifique de la Sarre.

L'objectif de "EnAlgae" est de réduire les émissions de CO2 et la dépendance aux énergies fossiles dans l'Europe du Nord-Ouest. Les algues peuvent convertir jusqu'à 5 % de la lumière solaire en énergie chimique et absorber de grandes quantités de CO2 dans l'atmosphère. Puisque les algues peuvent être cultivées dans des bassins ou des réservoirs, leur production ne nécessite pas de terres arables et ne concurrence pas la production alimentaire. "Les algues possèdent donc du point de vue de la durabilité un énorme potentiel", comme le souligne Christine Rösch, chef de projet au KIT. Sous la direction du KIT, des experts vont mener des analyses sur la durabilité de différents procédés de production à base de micro- et macro-algues. Leur objectif sera de déterminer la chaîne de production la plus efficace et la plus avantageuse, autant d'un point de vue écologique qu'économique, et de définir quels seraient les emplacements les plus appropriés pour la culture d'algues. La conception d'installations de production durable d'algues sera également envisagée.

Les moyens mis en oeuvre seront le développement accéléré de technologies durables pour la production de biomasse et pour la capture des gaz à effet de serre, depuis la phase pilote jusqu'aux applications commerciales.

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  • JACKY MAISONNEUVE

    7/12/2015

    Jacky Maisonneuve
    Route des jeunes 5 D¨
    C.P. 1326 - 1211 Genève 26
    Tél. 00.41.22.300.17.90 –
    Portable 00.41.79.200.52

    Lundi 07 décembre 2015

    Fabrication d’hydrocarbure de synthèse à base d’eau salée.

    Nous vous proposons de visiter le site : (Swiss H2o Nacl Energy)

    - :
    Nous avons déposé un BREVET pour la fabrication d’hydrocarbure de synthèse à base d’eau salée.

    En tant qu’investisseurs nous sommes entrés dans un petit groupe de recherches qui faisait des expérimentations (en secret). Par la suite nous avons repris ce laboratoire et avons continué seuls ces expérimentations. Nous disposons de tous les documents et les rapports de 50 années d’expérimentations sur ce procédé

    Nous avons décidé maintenant d’apporter tous les dossiers de ces travaux de recherches à un « organisme » capable de finaliser ces expérimentations et capable ensuite de maitriser cette révolution scientifique, même si elle semble imaginable !

    Dans la région de Rouen en France, un « aéropage » d’une vingtaine de personnalités, scientifiques, politiques et les dirigeants de plusieurs compagnies pétrolières de l’époque ont assistés « ébahis » à la transformation de 6000 litres d’eau salée en essence de synthèse. Tous les participants ont pu inspecter les installations et ont prélevé des échantillons de cette essence à base d’eau de mer qui sortait de chacune des 4 installations de transformation.

    (Un livre « LES SECRETS DU PETROLE » a été publié en 1963 par Pierre FONTAINE. Il cite largement en pages 17 à 22, cette expérimentation exceptionnelle ainsi que les participants présents ce jour-là). Des rapports à ce sujet figurent probablement dans vos archives. (il est vrai qu’à cette époque, ARAMCO avait fait des contrats mirobolants avec les pays Arabes et les méthodes de substitution au pétrole avaient bien peu d’intérêts. (voir articles de presse de 1934 à disposition dans le site).

    - Au début des années 1990, nous avons repris 100 % de la société SODIA SA, qui exploitait le laboratoire de recherches aux environs de Genève. Nous avons liquidé cette société en prenant en charge tous les passifs. Nous avons ainsi obtenu la libre disposition du brevet (en fin de validité) déposé par Albert Saheur et surtout tous les documents et les rapports concernant les expérimentations faites depuis le début de cette aventure.

    - Nous avons créé alors un nouveau laboratoire plus petit dans les locaux de notre immeuble route des jeunes à Genève et avons financé nous-mêmes la continuité des recherches avec deux chercheurs Suisses, Roland Marmoud et George Chiasso, qui avaient longtemps collaborés avec Albert Saheur. (chacun s’accordait pour garder secrète ces recherches, de peur de se faire « voler » le procédé et les formules).

    - Aujourd’hui, en 2015, tous les acteurs de ce long « parcours de recherches son mort. (de vieillesse). Bien qu’ayant réalisé de beaux exploits, ils n’ont pas pu réaliser leur rêve de reproduire couramment et en permanence cette essence de synthèse.

    - Puisque nous sommes les derniers « porteurs » de ce projet, il nous a semblé qu’il était plus judicieux, « d’apporter » tous ces documents que nous avons collectionnés, à un groupe capable de continuer ces expérimentations, avec une formule de partenariat. Si une compagnie Française se montre intéressée à cette idée, nous donnerions lui bien sûr notre préférence,

    - Bien que n’étant pas nous-mêmes des scientifiques, nous avons participé à des centaines d’expérimentations et d’innombrables briefings avec nos chercheurs à ce sujet. Aussi, nous avons l’intime conviction que cette « mutation » est réalisable et que cette mise en application apporterait une véritable révolution scientifique

    Aussi, si notre dossier vous parait intéressant, nous sommes disposés à vous rencontrer pour connaitre vos propositions.
    Nous restons à votre disposition, si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet. Dans cette attente, je vous présente mes respectueuses salutations.

    Jacky Maisonneuve

    Le Procédé en bref :
    Dans notre procédé, un colloïdal bien spécifique est mélangé à l’eau de mer. Ce mélange traverse un appareil à charges magnétiques et lumineuses bien spécifiques. C’est au passage dans cette installation magnétique que doit se faire cette transformation de l’eau de mer en hydrocarbure de synthèse.

    L’énergie nécessaire à cette « transformation » est relativement faible, elle est comparable à celle d’un alternateur de voiture de tourisme. Le coût de l’énergie nécessaire à cette transformation est donc ridicule comparé à l’énergie produite. Nous « supposons » une « mutation à faible énergie » du NACL en carbone. . . Evidemment, tous les scientifiques « éclatent de rire » à ce «commentaire » ! ! ! Nous avons de notre côté une « supposition d’explication » à cette transmutation. (voir Dossier No 8a du site : « Secrets de fabrication »)

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