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Quand les singes regrettent leur mauvais choix …

Selon une étude réalisée par des chercheurs américains de l'Université Duke, les singes manifesteraient des réactions émotives semblables à celles des humains lorsqu'ils prennent une décision qui leur est préjudiciable.

Ces singes, 23 chimpanzés, 15 bonobos, ont été soumis à une série d'expériences dans lesquelles ils  devaient choisir entre plusieurs possibilités plus ou moins risquées et assorties d'une récompense alimentaire ou au contraire d'une punition, sous la forme d'un aliment peu prisé par ces primates.

À l'issue de ces expériences, les scientifiques ont observé que ces singes manifestaient une grande émotivité lorsqu'ils avaient fait le mauvais choix, ce qui montre qu'il existe bien chez ces animaux, une dimension émotionnelle importante au moment de la décision et que le sentiment de regret n'est pas le propre de l'homme.

Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash

MNN

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  • J.T.

    29/07/2016

    La dimension émotionnelle existe tout autant chez l'humain en tant qu'individu expérimentant chaque état de conscience faux ou excessif...,, que chez l'esprit de masse...., voire pour l’humanité toute entière, comme lors des pandémies !

    Prenons quelques exemples hisse-tôt-risques "récents" :

    - la première guerre mondiale s'est terminée sur l’hécatombe de la grippe espagnole (les problèmes pulmonaires signalent toujours un sentiment ou ressenti de forte solitude), les patriotismes décadents et illusions de gloires faciles "sur le dos des autres", arrivées à leurs derniers expédients ;

    - la peste noire du Moyen-Age reflétait la désespérance des citadins accrus, entassés en des villes puantes débordant d'immondices, alors même que ces populations subissaient par ailleurs un servage esclavagiste total en campagne, alors crus obligés de se réfugier en ville ;

    - la pandémie d'Ebola reflétait le refus de lâcher de fausses croyances animistes de vénération des ancêtres et des morts, se croyant obligés de les laver, et de s'y trouver contaminés :

    - le virus zika du moustique brésilien ne rappelle-t-il pas aux populations, avec ses conséquences pour les nouveaux-nés de réductions cervicales..., qu'il est temps de cesser de faire cerveau copieur du pire, à concentrations débiles avec trop de gosses en favelas...;

    - de même avec le virus du Sida, en aimant manger du singe, au lieu de se contenter de légumes, de céréales et de fruits plus sains pour la santé !

    Nos mauvais choix individuels créatifs de COPIEURS..., SINGEANT LES AUTRES, nous conduisent vite à des aberrations collectives monumentales !

    Il en va ainsi de nos modes de vie plus du tout naturels et sains, de notre surpopulation urbaine vite asphyxiée de partout avec les gaz d'auto et de chaudière, les ordures pas ramassées et en trop..., par refus grandissants de se gérer de toute part !

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