Vivant
La méditation augmente l'espérance de vie
- Tweeter
-
-
0 avis :
Une étude, parue dans l'American Journal of cardiology, démontre le bénéfice des méthodes non médicamenteuses de réduction du stress concernant la diminution de la mortalité liée aux accidents cardio-vasculaires et l'allongement de l'espérance de vie. L'expérience porte sur 202 personnes, hommes et femmes, âgés de 71 ans en moyenne et souffrant d'une élévation modérée de leur tension artérielle. L'ensemble des sujets a pratiqué différentes méthodes de relaxation telles que la « méditation transcendantale », la détente musculaire et spirituelle tandis qu'un groupe témoin recevait des conseils hygiéno-diététiques. Les sujets ont été suivis pendant dix-huit années.
Chacun d'entre eux devait pratiquer ces exercices de détente deux fois par jour, à son domicile en excluant toute autre modification de ses habitudes de vie. La méditation transcendantale est issue de la tradition védique, une ancienne religion indienne. Les résultats sont probants, la mortalité globale à diminué de 23 % dans l'échantillon de personnes participant aux techniques de relaxation transcendantale. Encore plus frappant, la mortalité lié aux accidents cardio-vasculaires, où le stress joue un rôle néfaste, a chuté de 30 % avec une nette diminution de l'ensemble des facteurs de risques cardiaques (stress, hypertension, cholestérol...) tandis que celle relative aux pathologies cancéreuses est pratiquement divisée par deux (49 % de moins). L'étude réalisée par le Center of Natural Medicine and Prevention sous couvert du National Institute of Health a pour but d'évaluer l'impact des médecines alternatives sur les décès d'origine cardiaque.
Noter cet article :
Vous serez certainement intéressé par ces articles :
Un revêtement intelligent qui surveille la cicatrisation
Alors que ces dispositifs invasifs restent responsables de nombreuses infections associées aux soins (IAS) ce nouveau matériau, développé par une équipe de bioingénieurs de l’Université de ...
Cancer du sein : des résultats en faveur du jeûne pendant la chimiothérapie
Selon une étude réalisée par des chercheurs de l'Université de la Charité, à Berlin, la pratique d’un jeûne de courte durée (moins de trois jours) à chaque cycle de chimiothérapie améliorerait ...
La pollution de l’air constitue la plus grande menace sanitaire humaine
« La pollution par les particules reste le plus grand risque externe pour la santé humaine au monde », estime l’Institut de politique énergétique de l’université de Chicago (Epic) dans un rapport ...
Recommander cet article :
- Nombre de consultations : 151
- Publié dans : Médecine
- Partager :