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Total se lance en tandem dans le carburant renouvelable

La signature d'accords entre Total et Amyris a été annoncée dans l'objectif de renforcer d'une part leur partenariat R&D et de créer d'autre part une société commune qui développera, produira et commercialisera une gamme de produits et de carburants issus de matières premières renouvelables.

Les deux entités amplifient leur partenariat de R&D afin d'accélérer le développement du Biofene® et de mettre au point un biodiesel grâce à cette molécule issue du sucre d’origine végétal.  Cet ambitieux programme démarré en 2010 et mené conjointement par les chercheurs des 2 sociétés, vise à développer les étapes nécessaires à l’industrialisation et à la commercialisation de biocarburants de nouvelle génération. Total s'est déjà engagé à participer à hauteur de 105 millions de dollars au financement de ce programme estimé à 180 millions de dollars.

Parallèlement, Total et Amyris ont décidé de créer une joint-venture (50/50) qui détiendra les droits exclusifs de production et de commercialisation des biodiesels et biojets fuels (carburants pour avions) dans le monde entier ainsi que des droits non exclusifs pour d’autres produits d’origine renouvelable tels que les fluides de forage, les solvants, les polymères et des biolubrifiants spécifiques. Cette joint-venture devrait être opérationnelle dès le premier trimestre 2012.

« La création de cette joint-venture et le lancement de ce nouveau programme de R&D sur le biodiesel sont deux nouvelles étapes majeures pour Total qui ambitionne de devenir un fournisseur important de biocarburants, » a déclaré Philippe Boisseau, directeur général Gaz & Energies Nouvelles de Total. « Le biodiesel issu de la technologie avancée Amyris bénéficiera du savoir-faire et des capacités d’accès aux clients de l’ensemble du groupe Total présent dans plus de 130 pays. Il permettra de renforcer les positions du Groupe sur un marché mondial du biodiesel qui devrait doubler d’ici à 2020, passant de 17 Mt en 2010 à 32 Mt par an. »

« Des carburants à la chimie, Amyris entend proposer aux clients et aux consommateurs des produits renouvelables de qualité aussi performants que les produits issus du pétrole, » a ajouté John Melo, Président directeur général d’Amyris.

  • La technologie d'Amyris

Amyris a mis au point des technologies (engineering et screening) qui lui permettent de modifier la façon dont les micro-organismes transforment le sucre. Elle utilise sa plate-forme technologique de biologie synthétique pour concevoir des micro-organismes, principalement des levures, qui deviendront de véritables usines vivantes intégrées aux processus de fermentation nécessaires à la conversion du sucre des végétaux en produits chimiques et biocarburants.

Amyris dispose de laboratoires et d’une usine pilote en Californie ainsi que d’un site de démonstration et d’une usine pilote au Brésil. Sa production de Biofene est répartie, selon différents accords de production, entre ses sites en Europe, aux États-Unis et au Brésil où de nouvelles usines sont actuellement en construction.

Cette technologie permettra d’atteindre des taux d’incorporation de composants renouvelables (biomasse, déchets organiques, etc.) aux carburants bien supérieurs aux 7 % actuellement fixés par la règlementation européenne notamment. Le biodiesel produit ainsi par Total et Amyris se caractérisera par des qualités comparables aux meilleurs diesels issus du pétrole (densité énergétique, performances moteurs, propriétés de stockage), voire supérieures (lubrification et résistance aux basses températures).

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  • JACKY MAISONNEUVE

    7/12/2015

    Jacky Maisonneuve
    Route des jeunes 5 D¨
    C.P. 1326 - 1211 Genève 26
    Tél. 00.41.22.300.17.90 –
    Portable 00.41.79.200.52

    Lundi 07 décembre 2015

    Fabrication d’hydrocarbure de synthèse à base d’eau salée.

    Nous vous proposons de visiter le site: (Swiss H2o Nacl Energy)

    - :
    Nous avons déposé un BREVET pour la fabrication d’hydrocarbure de synthèse à base d’eau salée.

    En tant qu’investisseurs nous sommes entrés dans un petit groupe de recherches qui faisait des expérimentations (en secret). Par la suite nous avons repris ce laboratoire et avons continué seuls ces expérimentations. Nous disposons de tous les documents et les rapports de 50 années d’expérimentations sur ce procédé

    Nous avons décidé maintenant d’apporter tous les dossiers de ces travaux de recherches à un « organisme » capable de finaliser ces expérimentations et capable ensuite de maitriser cette révolution scientifique, même si elle semble imaginable !

    Dans la région de Rouen en France, un « aéropage » d’une vingtaine de personnalités, scientifiques, politiques et les dirigeants de plusieurs compagnies pétrolières de l’époque ont assistés « ébahis » à la transformation de 6000 litres d’eau salée en essence de synthèse. Tous les participants ont pu inspecter les installations et ont prélevé des échantillons de cette essence à base d’eau de mer qui sortait de chacune des 4 installations de transformation.

    (Un livre « LES SECRETS DU PETROLE » a été publié en 1963 par Pierre FONTAINE. Il cite largement en pages 17 à 22, cette expérimentation exceptionnelle ainsi que les participants présents ce jour-là). Des rapports à ce sujet figurent probablement dans vos archives. (il est vrai qu’à cette époque, ARAMCO avait fait des contrats mirobolants avec les pays Arabes et les méthodes de substitution au pétrole avaient bien peu d’intérêts. (voir articles de presse de 1934 à disposition dans le site).

    - Au début des années 1990, nous avons repris 100 % de la société SODIA SA, qui exploitait le laboratoire de recherches aux environs de Genève. Nous avons liquidé cette société en prenant en charge tous les passifs. Nous avons ainsi obtenu la libre disposition du brevet (en fin de validité) déposé par Albert Saheur et surtout tous les documents et les rapports concernant les expérimentations faites depuis le début de cette aventure.

    - Nous avons créé alors un nouveau laboratoire plus petit dans les locaux de notre immeuble route des jeunes à Genève et avons financé nous-mêmes la continuité des recherches avec deux chercheurs Suisses, Roland Marmoud et George Chiasso, qui avaient longtemps collaborés avec Albert Saheur. (chacun s’accordait pour garder secrète ces recherches, de peur de se faire « voler » le procédé et les formules).

    - Aujourd’hui, en 2015, tous les acteurs de ce long « parcours de recherches son mort. (de vieillesse). Bien qu’ayant réalisé de beaux exploits, ils n’ont pas pu réaliser leur rêve de reproduire couramment et en permanence cette essence de synthèse.

    - Puisque nous sommes les derniers « porteurs » de ce projet, il nous a semblé qu’il était plus judicieux, « d’apporter » tous ces documents que nous avons collectionnés, à un groupe capable de continuer ces expérimentations, avec une formule de partenariat. Si une compagnie Française se montre intéressée à cette idée, nous donnerions lui bien sûr notre préférence,

    - Bien que n’étant pas nous-mêmes des scientifiques, nous avons participé à des centaines d’expérimentations et d’innombrables briefings avec nos chercheurs à ce sujet. Aussi, nous avons l’intime conviction que cette « mutation » est réalisable et que cette mise en application apporterait une véritable révolution scientifique

    Aussi, si notre dossier vous parait intéressant, nous sommes disposés à vous rencontrer pour connaitre vos propositions.
    Nous restons à votre disposition, si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet. Dans cette attente, je vous présente mes respectueuses salutations.

    Jacky Maisonneuve

    Le Procédé en bref :
    Dans notre procédé, un colloïdal bien spécifique est mélangé à l’eau de mer. Ce mélange traverse un appareil à charges magnétiques et lumineuses bien spécifiques. C’est au passage dans cette installation magnétique que doit se faire cette transformation de l’eau de mer en hydrocarbure de synthèse.

    L’énergie nécessaire à cette « transformation » est relativement faible, elle est comparable à celle d’un alternateur de voiture de tourisme. Le coût de l’énergie nécessaire à cette transformation est donc ridicule comparé à l’énergie produite. Nous « supposons » une « mutation à faible énergie » du NACL en carbone. . . Evidemment, tous les scientifiques « éclatent de rire » à ce «commentaire » ! ! ! Nous avons de notre côté une « supposition d’explication » à cette transmutation. (voir Dossier No 8a du site : « Secrets de fabrication »)

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