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Une mouche au secours des alcooliques
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Des chercheurs de l'université de Californie à San Francisco ont identifié chez la Drosophile un gène baptisé« un petit coup pas cher » (cheapdate), qui permettrait d'expliquer pourquoi certains individus semble moins sensibles que d'autres aux effets de l' alcool. Bien que cette information ne puisse pas être extrapolée à l' homme et que le phénomène de l'alcoolisme ne soit pas associé à un unique gène, cette découverte identifie l'un des marqueurs biologiques de ce fléau, qui touche 18 millions d'individus aux États-Unis, et renforce l' hypothèse génétique de cette dépendance. En effet, si ce gène ne provoque pas directement la tentation de boire, il pourrait favoriser l'alcoolisme. Les scientifiques espèrent proposer un test génétique pour dépister une prédisposition à cette pathologie.
(San José Mercury News).
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