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GenOdyssee découvre des interférons jusqu'à 100 fois plus efficaces que les molécules existantes

Les essais pré-cliniques réalisés sur les interférons naturels découverts et protégés en 2001 par GenOdyssee concluent à une efficacité jusqu'à cent fois supérieure à celle des molécules équivalentes actuellement sur le marché pour des traitements antiviraux ou anticancéreux chez l'Homme. Les essais réalisés par GenOdyssee ont permis d'identifier des activités dissociées chez plusieurs de ses interférons qui permettent d'entrevoir une approche plus spécifique et plus efficace des maladies traitées par ce type de molécules, ce qui constitue une première dans le domaine de la recherche médicale et pharmaceutique sur les interférons. GenOdyssee poursuit le développement de ses molécules les plus prometteuses pour des applications dans l'hépatite C et le traitement des cancers. Les premiers essais cliniques chez l'Homme sont prévus en 2003. GenOdyssee, en appliquant son approche originale de la variabilité génétique et phénotypique de la population mondiale (brevetée en 2000 en France et 2001 aux USA), a découvert 9 nouvelles molécules naturelles appartenant à la classe des interférons humains pour lesquelles elle a fait réaliser, par des laboratoires publics indépendants, des essais pré-cliniques ciblés pour des applications dans le traitement de l'hépatite C et des cancers par immunothérapie. L'innovation de la recherche réalisée par GenOdyssee sur les interférons est la découverte, pour la première fois, de molécules interférons naturelles ayant une activité dissociée par rapport aux interférons de référence (alpha 2a et 2b). Par rapport aux activités antiproliférative, antivirale, et immunomodulatrice classiques qui caractérisent les interférons du marché, les molécules découvertes par GenOdyssee démontrent une très forte amélioration de l'une ou l'autre, voire de deux des activités pharmacologiques classiques des interférons. ' Ces découvertes originales devraient permettre de développer des interférons beaucoup plus efficaces et plus spécifiques pour le traitement des maladies traitées par ce type de molécules comme les maladies infectieuses et le cancer ' souligne le Professeur Michael TOVEY, directeur du laboratoire d'oncologie virale du CNRS (UPR 9045). Les activités dissociées de ces molécules devraient également permettre de jouer sur un autre paramètre clef de l'amélioration des traitements par interférons : la toxicité. En effet, le nombre important d'effets indésirables associés aux interférons classiques étant communément lié à la multiplicité des réponses physiologiques qu'ils stimulent, la forte modification du spectre d'activités pharmacologiques des interférons développés par GenOdyssee devrait s'accompagner d'une diminution des effets indésirables associés à ce type de molécules chez l'Homme comme la fièvre, la perte de poids, des anémies et surtout des désordres psychiques. Le Professeur Patrick MAUREL (CNRS, INSERM 128) confirme ainsi que ' l'efficacité accrue des molécules découvertes par GenOdyssee (jusqu'à 100 fois supérieure aux interférons du marché testés en parallèle) démontrée in vitro sur un modèle innovant d'infection par le virus de l'hépatite C (HCV) de cultures primaires d'hépatocytes humains, cellules cibles du développement de la maladie chez l'Homme, est sans précédent'. D'autre part, parmi les interférons naturels découverts par GenOdyssee, des profils immunomodulateurs significativement améliorés par rapport aux molécules commercialisées ont été également caractérisés qui permettent déjà de développer des applications nouvelles pour ce type de molécules dans le traitement des cancers.

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